La chambre syndicale des enseignes et groupements de pharmacies (Federgy) ne lâche pas le dossier des biosimilaires : elle rencontrera les associations de patients le 20 mai après avoir eu une réunion avec le ministère de la Santé, le 28 avril. « Notre position n’a pas changé d’un hiatus, nous revendiquons une place pour les biosimilaires en ville et nous sommes prêts à toutes les discussions avec le ministère et l’assurance-maladie pour que cette substitution soit mise en place en concertation et qu'un partage des économies réalisées - 680 millions d’euros - soit effectué », expose Alain Grollaud, président de Federgy. La crise sanitaire a, selon lui, accentué la prise de conscience de la nécessité à générer des sources de financement pour la recherche et l’innovation en médicament. Et conforté le ministère dans sa volonté d’aboutir à un accord. Les groupements, moteurs pour soutenir leurs adhérents dans la substitution, revendiquent un modèle d’incitation comparable à celui des anticancéreux oraux. « La rémunération pourrait se décomposer entre un honoraire à l’initiation de traitement et un second à la dispensation », résume Alain Grollaud, précisant que des outils numériques seront disponibles pour assurer les échanges entre pharmaciens et prescripteurs. Selon lui, la prochaine – et dernière ? - étape sera de convaincre les industriels.
Biosimilaires
Federgy ne lâche pas le dossier
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Publié le 04/05/2021
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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