Lors de la clôture du Congrès de la Conférence des présidents d'universités, le président de la République a déclaré que la France ne pourrait « rester durablement dans un système où l'enseignement supérieur n'a aucun prix pour la quasi-totalité des étudiants (...) ». Une déclaration qui a fait bondir les fédérations étudiantes. L'association nationale des étudiants en pharmacie de France (ANEPF) a notamment tenu à répondre au chef de l'État, jugeant ces propos « inadmissibles ». « Ils remettent en question le principe même de gratuité de l'enseignement supérieur, pourtant constitutionnel. Des dysfonctionnements existent mais comment faire fonctionner l'enseignement supérieur quand il est sous-financé depuis des années ? », interroge l'ANEPF. Comme veut le souligner l'association étudiante : « l'enseignement supérieur doit demeurer un droit pour tous, et non un luxe ».
Enseignement supérieur
L'ANEPF répond à Macron
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Publié le 28/01/2022
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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