L'USPO émet de réserves quant à la réalisation des autotests en officine, sous le contrôle de l'équipe officinale. Et dénonce une tâche supplémentaire pour une équipe officinale déjà surchargée.
Le ministère de la santé envisage d'ajouter les autotests à l'arsenal de dépistage face à la reprise de l'épidémie. Il a émis l'éventualité que les pharmaciens puissent superviser cet autoprélèvement nasal et en valider les résultats. Une perspective qui suscite les réserves de Pierre-Olivier Variot, président de l'Union des syndicats de pharmaciens d'officine (USPO), qui craint que cette nouvelle tâche ne vienne surcharger davantage un exercice officinal déjà complexifié par la réalisation des TAG et de la vaccination.
Afin de recueillir l'avis des pharmaciens sur cette nouvelle mission, l'USPO a lancé un sondage en ligne.
Rappel de lots
Hydrea : un risque de sous-dosage pour les patients qui ouvrent la gélule
A la Une
Médicaments et pesticides : tout le littoral français est contaminé
Médicament
Tensions sur la rispéridone injectable : comment le pharmacien doit-il s’adapter ?
Congrès national des pharmaciens
Trois mois pour changer le métier