À la date du 21 juin, 92 % des pharmaciens français font face à des ruptures totales ou partielles de corticoïdes, selon les résultats d'une enquête menée par l'Union des syndicats pharmaceutiques de France (USPO). Plus de 600 pharmaciens ont répondu à cette consultation, mise en ligne en amont d'une réunion organisée, le 20 juin, par l'Agence nationale de sûreté du médicament (ANSM). Concernant les corticoïdes par voie orale, 71 % des officinaux sondés affirment être en rupture partielle et 21 % en rupture totale. Les chiffres ne sont pas meilleurs concernant les corticoïdes par voie injectable : 48 % des sondés se disent en rupture totale et 44 % en rupture partielle.
La ministre de la Santé, Agnès Buzyn, présentera, fin juin, un plan pour lutter contre les tensions d'approvisionnement.
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