
Un entretien avec Jean Fabre, président de Phoenix Pharma France*La répartition souffre d'un manque de visibilité
Le président du répartiteur Phoenix Pharma France et du groupement Plus Pharmacie (enseigne PharmaVie) livre son analyse sur les mutations récentes du marché des groupements ainsi que sur les défis à relever par le secteur de la répartition.
Le Quotidien du pharmacien. — Vous avez pris, il y a six mois, la direction de Phoenix Pharma France ainsi que celle de PharmaVie. Quel développement envisagez-vous pour ce groupement ?
Jean Fabre.- Je pense qu’un groupement ne se définit pas par sa taille mais par sa capacité à répondre aux missions du pharmacien. Nous avons déjà franchi une première étape de manière symbolique, par exemple avec Lili Smart, une application pour l’accompagnement des personnes dépendantes,...
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