
AntibiorésistanceLe paradoxe français
La consommation d'antibiotiques en santé humaine est repartie à la hausse. Le ministère de la Santé prépare une nouvelle campagne de communication sur l'antibiorésistance, prévue en 2018.
La moitié des Français affirment être bien informés (36 % sont imparfaitement informés et 13 % pas du tout) sur le risque d'antibiorésistance, contre un tiers des Européens, mais seulement 25 % prétendent vouloir changer leur comportement, contre 34 % dans l'ensemble de l'Union européenne, selon le dernier baromètre européen.
« C'est un paradoxe bien français, indique Victor L'aimant, du ministère de la Santé. Il faudrait vraiment réaliser des études...
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