Lentigos actiniques ou séniles, taches de vieillesse, « fleurs de cimetière »… quelle que soit leur appellation, les taches planes, de couleur beige chamois ou brunes, dues à un excès de mélanine produite en réaction par la peau et visibles sur les parties exposées au soleil (visage, décolleté, dos des mains…) sont mal acceptées, en particulier par les femmes.
« Ces taches sont liées au vieillissement cutané et à la génétique mais aussi à ce qu’on appelle aujourd’hui l’exposome, autrement dit l’ensemble des expositions environnementales auxquelles l’organisme est soumis tout au long de la vie : soleil, tabac, polluants atmosphériques, perturbateurs endocriniens, alimentation… », détaille le Dr Martine Baspeyras, dermatologue à Bordeaux. On peut donc a priori prévenir ou retarder leur apparition grâce à une bonne hygiène de vie, notamment en se protégeant des rayons UV, mais c’est difficile. Par ailleurs, les taches pigmentaires existantes ont, au fil du temps, tendance à foncer et à s’agrandir.
Un système de modulation de l’ionisation
En l’absence de traitements cosmétiques capables de les effacer ou de les atténuer, les dermatologues proposent habituellement des techniques de médecine esthétiques (laser, peeling…). De fait, les anti-oxydants comme la vitamine C visant à prévenir le stress oxydatif causé par un excès de radicaux libres, à diminuer la production de mélanine et avoir un effet anti-âge, sont instables dans un système aqueux. Ils se dégradent rapidement et sont donc inefficaces. D’où l’intérêt de la technologie NextGen développée par Alphascience Research en collaboration avec l’université de Mons (Belgique) qui permet, par un système de modulation de l’ionisation, de stabiliser les anti-oxydants les plus puissants et les plus fragiles tels que la vitamine C pure, l’acide tannique et, depuis peu, la cystéamine, naturellement présente dans l’organisme, connue pour son effet dépigmentant depuis une dizaine d’années.
Une fois par jour
« Jusqu’ici, l’utilisation de la cystéamine se heurtait à plusieurs obstacles : son odeur soufrée désagréable, son potentiel irritant dû à son instabilité et sa fragilité naturelle, explique Alfred Marchal, docteur en chimie organique, cofondateur et directeur du centre R & D Alphascience Research. Grâce à la technologie NextGen qui a permis de stabiliser la cystéamine, le laboratoire a réussi à formuler un sérum antitaches et anti-âge efficace dont l’odeur caractéristique de la cystéamine disparaît quelques minutes après l’application et qui reste actif plus de 10 heures à l’intérieur du derme. » Le sérum Mela Bright (C+) combine ainsi plusieurs antioxydants puissants stabilisés : acide phytique, vitamine C pure et cystéamine qui en font à la fois un « bouclier protecteur antioxydant » pour prévenir l’apparition de nouvelles taches et un correcteur de taches déjà installées. Son efficacité a été cliniquement prouvée sur la décoloration de la peau sans les inconvénients de l’hydroquinone ou des corticostéroïdes. Sans parfum ni alcool ni conservateur, il convient à tous les types de peau, y compris les plus foncées, et s’utilise - en petite quantité - une fois par jour, matin ou soir, après le nettoyage de la peau et n’a pas besoin d’être rincé. Il peut également être utilisé en complément de procédures esthétiques médicales, notamment dépigmentaires, pour améliorer et maintenir les résultats obtenus.
D’après une conférence du Laboratoire Alphascience