Ajouter différents outils à ce qui existe déjà coûte forcément, beaucoup sont proposés sous forme d’abonnement, qu’il faut négocier de telle sorte qu’ils puissent être sans engagement. En effet, les technologies développées par les start-up leur permettent cette souplesse. Normalement, si les promesses d’optimisation sont tenues, les pharmacies peuvent les amortir aisément. D’autant que la tendance à aller vers le Saas, y compris par les éditeurs de LGO, dispense d’investir dans des serveurs coûteux puisque les applications sont hébergées ailleurs que dans l’officine. Il faut cependant aussi tenir compte des éventuels frais demandés par l’éditeur de LGO en cas d’API développée(s), sous la forme d’un abonnement supplémentaire, au risque de donner l’impression au pharmacien de payer deux fois son nouvel outil. Le point de vue de ces éditeurs se défend, puisqu’il y a du développement derrière ces API. Mais cela ne donne pas forcément une bonne image commerciale. Certains, éditeurs de LGO ou start-up, assument le coût de ces développements et évitent d’en répercuter l’impact sur leurs tarifs, même s’ils admettent que ce n’est pas toujours simple.
Optimiser, ça coûte combien ?
Publié le 23/10/2020
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Hakim Remili
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Source : Le Quotidien du Pharmacien