Depuis sa mise en service le 18 avril, le MIS* des Alpes Maritimes, domicilié au Centre hospitalier de Cannes, reçoit dix à quinze appels par jour. Et à chaque fois, les pharmaciens en ligne le répètent, ils se positionnent en complémentarité du pharmacien d’officine qui reste le premier recours.
Pour autant, Cyril Borronad, responsable du service et pharmacien au CH de Cannes, constate un besoin réel de patients « en situation isolée, en voyage, pressés, ou encore des parents d’enfants qui, une fois rentrés chez eux, constatent qu’ils n’ont pas bien assimilé les conseils du pharmacien ». « Le médicament nécessite une redite permanente du message », assène-t-il, rappelant que la totalité des pharmaciens a été formée pendant un an à l’entretien thérapeutique dans des services de soins. Des questions émanent également de patients s’interrogeant sur les interactions possibles entre compléments alimentaires et traitement médicamenteux.
Pharmacie vétérinaire
Antiparasitaires vétérinaires : des accidents mortels chez le chat et le lapin
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Glucagen Kit : une rupture brève
Traitement du diabète de type 2
Les analogues du GLP-1 augmenteraient le risque de fracture
Traitement de l’anémie
NeoRecormon : des tensions voire des ruptures de stock à prévoir