POUR le GEMME, la baisse du taux de substitution - qui est passé de 76 % fin 2008 à 67,7 % en mars dernier -, est en partie liée à l’usage « excessif » de la mention « non substituable » (NS) par les médecins. Selon une étude BVA réalisée à la demande de l’association de génériqueurs, les généralistes utiliseraient la mention NS pour 22 % de leurs prescriptions. « Ce taux est encore plus élevé pour les médecins généralistes de plus de 55 ans et avec une patientèle importante », précise le GEMME qui demande aux pouvoirs publics et à l’assurance-maladie de prendre des mesures « efficaces, rapides et justes » pour inverser la tendance. L’association plaide ainsi en faveur d’une campagne de communication « pour affirmer la qualité des médicaments génériques face aux rumeurs négatives diffusés en permanence », d’un encadrement strict de l’usage excessif de la mention NS et du développement de la prescription au sein du répertoire.
Prescriptions
22 % de NS
Publié le 07/06/2012
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 2928
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