Plusieurs dispositifs sont proposés. L'autotest sanguin du VIH repose sur la détection par immunochromatographie des anticorps anti-VIH présents dans le sang. Le risque d'exposition doit dater d'au moins 3 mois. Si le rapport sexuel à risque date de moins de 3 mois, l'autodiagnostic ne convient pas. Le patient doit être orienté vers un test ELISA à réaliser en laboratoire d'analyse médicale ou en CeGIDD. Si le test est positif, le résultat doit être confirmé par un test ELISA. Attention, si un comportement à risque a été pris dans les 3 mois précédant le test, le résultat négatif ne peut pas être considéré comme fiable. L'intérêt de l'autodiagnostic est d'instaurer une prise en charge plus précoce et de bloquer les risques de contamination. Un autotest VIH peut être remis à un mineur, en adaptant le discours et en l'orientant si possible vers un CeGIDD ou un centre de planning familial.
L'autotest Tétanos repose sur la détection des anticorps antitétaniques dans le sang. Il peut être intéressant pour contrôler le statut vaccinal d'une personne.
L'autotest Maladie de Lyme permet de détecter les anticorps dirigés contre la bactérie responsable de cette maladie, Borrelia.
L'autotest Infection urinaire permet de détecter les marqueurs d'une infection urinaire, comme les leucocytes et les nitrites. En cas de résultats positifs, un traitement antibiotique doit être prescrit, avec utilisation de la fosfomycine-trométamol en première intention. Enfin, l'autotest Helicobacter pylori est un test sanguin immunologique de détection d'H. pylori, germe retrouvé dans 90 % des ulcères gastro-duodénaux.
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