En pratique, plus un aliment a une bonne qualité nutritionnelle, moins il apporte de calories, plus il est cher et inversement. C’est le paradoxe de l’alimentation d’aujourd’hui. Conséquence : en France comme partout dans le monde, les populations les plus démunies achètent pour un faible coût des aliments de mauvaise qualité nutritionnelle et de forte densité énergétique. Ce modèle alimentaire qui privilégie la quantité et non la qualité ni la saveur, combiné à d’autres facteurs comme l’inactivité et la sédentarité favorise le développement de l’obésité, du diabète et d’autres maladies de civilisation. Les nutritionnistes et les professionnels de santé doivent encourager la consommation d’aliments de bonne qualité nutritionnelle à prix raisonnables comme le lait et les produits laitiers, les œufs, les légumes secs et les féculents.
Le prix à payer
Publié le 19/05/2016
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Article réservé aux abonnés
- 0 RéactionsCommenter
- Partager sur Facebook
Facebook
- Partager sur X
X
- Partager sur Linkedin
Linkedin
- Partager par mail
Mail
Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3266
Étude Epi-phare
Méningiomes et progestatifs : les prescriptions s’effondrent, les cas de méningiome aussi
Avis de la HAS
Un deuxième vaccin contre le chikungunya ? La France devra attendre
Pharmacovigilance
Existe-t-il un risque de cancer de la vessie avec les glifozines ?
Bilan 2024 de Cyclamed
Médicaments non utilisés : un taux de collecte record, porté par l’éco-responsabilité