« Le nombre de femmes enceintes potentiellement exposées aux AINS reste très élevé », alerte l’ANSM. La prise d’AINS, même ponctuelle, est contre-indiquée à partir du sixième mois de grossesse en raison de la toxicité fœtale de ces médicaments, parmi lesquels l’ibuprofène. Chez les femmes enceintes de moins de six mois, les AINS ne doivent pas être utilisés sans prescription d’un médecin. Pour rendre cette information plus lisible, une clarification et une simplification de la notice est en cours. En cas de douleur chez la femme enceinte, le paracétamol doit être proposé en première intention.
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Anti-inflammatoires et grossesse : appel à la vigilance
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Publié le 09/05/2025
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Source : Le Quotidien du Pharmacien
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