Mélasma, lentigos actiniques et séniles, hyperpigmentation post-inflammatoire, toutes ces formes d’hyperpigmentation sont très fréquentes et elles impactent fortement la qualité de vie des personnes concernées. En cause, une surproduction de mélanine produite par des cellules spécialisées, les mélanocytes. Des découvertes récentes ont permis de mieux comprendre le processus d’hyperpigmentation et d’envisager des solutions de traitement plus performantes. L’expertise d'ACM, N° 1 en prescription médicale des soins antitaches prescrits par les dermatologues en France, s’appuie sur l’avancée des connaissances, et particulièrement sur les recherches du Pr Passeron, dermatologue expert de la pigmentation, dans le cas du mélasma qui est l'un des types d'hyperpigmentation les plus difficiles à traiter. « Le mélasma possède une origine multifactorielle et le dysfonctionnement du mélanocyte n’est pas l’unique source de cette lésion pigmentaire. Trois nouvelles voies ont été identifiées comme responsables d’une stimulation des mélanocytes. Les kératinocytes sont en première ligne en produisant des cytokines et des hormones qui activent les mélanocytes. Ceux-ci fabriquent alors deux types de pigments, les eumélanines et les phénomélanines, qui sont distribués aux kératinocytes puis gagnent progressivement l'épiderme en donnant leur couleur à la peau. L'activation des mélanocytes est également amplifiée par les cellules endothéliales, et l'altération de la lame basale intervient dans l'aggravation du mélasma en favorisant l’incursion des mélanocytes à la jonction de l'épiderme et du derme. »
La lipofuscine, un pigment à part
Le comité scientifique ACM a mis en évidence le rôle d’un pigment spécifique totalement différent de la mélanine, la lipofuscine. Ce pigment cellulaire de couleur brune ne trouve pas son origine dans la mélanogenèse. Il est composé de débris cellulaires et apparaît dans les cellules épithéliales cutanées altérées ou sénescentes. Il est à l’origine du teint terne et irrégulier. Fort de ces nouvelles avancées, le laboratoire ACM a mis au point le sérum Depiwhite concentré intensif qui cible toutes les voies et tous les pigments impliqués dans l'hyperpigmentation et offre une performance correctrice cliniquement prouvée dans trois stratégies inédites. " On retrouve l'efficacité inhibitrice de l'hyperpigmentation déjà démontrée de la gamme Depiwhite en ciblant l'activité de la tyrosinase et le transfert de la mélanine aux kératinocytes, résument les experts du laboratoire, mais au-delà des voies d’activation classiques du processus de la mélanogenèse, le nouveau sérum emprunte la voie topique du premier acide tranexamique breveté (ATX) dont le pouvoir de pénétration est 7,8 fois supérieur à celui de l’acide tranexamique standard." Cette correction est renforcée par la présence de squalane dans la formule, elle permet de fortifier la lame basale et d'empêcher le mélanocyte de s’enfoncer dans le derme, et au-delà de la destruction de la mélanine, le sérum dégrade la lipofuscine dans les cellules sénescentes et lutte contre son accumulation et son effet de ternissement de la peau.
D'après une conférence de presse du laboratoire ACM
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