C’est l’un des éléments qui constituent l’espace numérique en santé : un store d’applis sur le modèle de l’Apple Store ou de Google Play Store.
Côté patients, ce store proposera deux catégories d’applications, détaille Xavier Vitry, directeur de projet de la délégation ministérielle du numérique en santé (DNS) : celles qui seront indépendantes de ses données de santé et celles qui auront l’autorisation d’interagir avec les données de santé. « Un éditeur ou une start-up peut proposer une application qui permettra d’augmenter l’expérience du patient pour l’accompagner dans la prise en charge de sa pathologie. Évidemment, pour pouvoir déposer une application dans le store, il faut répondre à un certain nombre de critères de sécurité, d’impact environnemental et d’éthique sur l’usage des données qui va être fait. »
Côté professionnels, ce même dispositif existera avec un bouquet d’applis référencées. Le pharmacien pourra faire le choix d’en activer certaines, il aura « la garantie d’être en interconnexion avec les informations du patient avec "mon espace santé" et les logiciels des professionnels de santé ». Le but est de permettre à un professionnel de santé d’entrer en coordination avec d’autres professionnels de santé qui ne sont pas dans la même structure d’exercice coordonné. Des applis sont en cours de référencement.
Le village de Tresques en deuil
Une pharmacienne poignardée dans le Gard : le mystère reste entier
Territoires fragiles en 2025
Une carte pour comprendre les fermetures de pharmacies
Vaccination à l’officine
Campagne grippe/Covid-19 : top départ le 14 octobre
Dispositifs médicaux numériques
Dépistage cutané en officine : l’Ordre alerte sur les faux négatifs