Alors que l'Agence de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) a pris une décision de police sanitaire à l'encontre de Philips pour le contraindre à remplacer plus rapidement ses ventilateurs et appareils de PPC défectueux, la Fédération française des associations et amicales d’insuffisants respiratoires (FFAAIR) se lance dans une action en justice pour « faire toute la lumière sur cette affaire ». Jugeant les informations de Philips « insuffisantes et contradictoires avec celles récoltées dans d'autres pays », la FFAIR a mandaté Me Lèguevaques afin qu'il porte plainte contre X et se constitue partie civile au nom de l'association. Cette plainte, qui devrait être déposée à la mi-avril, « visera principalement les infractions de mise en danger de la vie d'autrui, de tromperie et d'administration de substances nuisibles », précise l'avocat, qui souhaite également porter un projet d'action collective.
« Épidémies, pandémies : une histoire sans fin ? »
Génétique : « Nous sommes les descendants de ceux qui ont survécu »
Face aux pénuries, le surstockage est-il la solution ?
Négociations conventionnelles
Avenant économique : l’assurance-maladie avance ses billes
Denrées alimentaires destinées à des fins médicales spéciales (DADFMS)
Du nouveau dans le monopole pharmaceutique