On distingue, classiquement :- Les vaccins vivants atténués : rougeole, oreillons, rubéole… induisent une protection immunitaire rapide, mais peuvent, dans certains cas, entraîner une maladie infectieuse vaccinale, notamment sur des terrains à risque (immunodépression, grossesse…).- Les vaccins tués ou inertes : coqueluche tétanos, diphtérie (il s’agit en fait d’anatoxines), pneumocoques, méningocoques, Hæmophilus influenzae type b… Ils ne présentent aucun pouvoir infectieux, mais nécessitent habituellement de plus grandes quantités d’antigènes et souvent l’adjonction d’un adjuvant.Les vaccins à protéines recombinantes renferment des protéines antigéniques fabriquées par génie génétique.Dans les vaccins à virus modifiés, ou vaccins « par vecteurs », un virus sans danger pour l’organisme humain, est « manipulé » afin de lui faire exprimer un antigène d’intérêt.Enfin, les vaccins à ARN messager induisent la synthèse à l’intérieur même des cellules du sujet de protéines capables de stimuler le système immunitaire.
Bases physiopathologiques de la vaccination
Publié le 20/10/2023
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Source : lequotidiendupharmacien.fr