Pascal Brière, président du GEMME, l’expliquait récemment dans nos colonnes (notre édition du 12 mai 2014) : « Le dispositif légal actuel est incomplet (N.D.L.R., l’encadrement commercial du marché générique). Il est dangereux à la fois pour les fabricants et pour les pharmaciens. » Le fait que le taux du nouveau plafond de remises génériques soit désormais connu (40 %), semble n’avoir rien changé à cet avis. Ainsi, déclare Catherine Bourrienne-Bautista, déléguée générale du GEMME, « cette nouvelle confirme malheureusement nos inquiétudes ». Des inquiétudes qui concernent également la répartition pharmaceutique pour laquelle ce nouveau cadre légal ne sera pas sans effet, estime le GEMME. Mais surtout, insiste Catherine Bourrienne-Bautista, « ce taux est trop élevé. Il se trouve dans la fourchette haute de ce à quoi on pouvait s’attendre. Ce dispositif est incomplet, nous étions certes favorables à la transparence, mais dans des conditions juridiques sûres. Ce qui n’est pas le cas aujourd’hui ».
Un taux trop élevé, selon le GEMME
Publié le 12/05/2014
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D. D.
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Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3092
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