Contrats de coopération

Un outil indispensable pour le CNGPO

Publié le 21/10/2013
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POUR le CNGPO*, « le PLFSS 2014 enferme la filière du médicament dans un rôle de variable d’ajustement économique particulièrement pénalisant pour l’entreprise officinale et le maillage nécessaire à une qualité de service de Santé ». Les groupements ou enseignes du CNGPO estiment qu’il serait plus pertinent de « mettre en avant la contribution positive de la pharmacie en termes de qualité de santé publique et d’économie de nos comptes sociaux ». En effet, ils « s’investissent depuis toujours dans l’évolution du métier de leurs pharmaciens adhérents : observance, prévention, certification, coordination. Leur implication dans les nouvelles missions le prouve encore récemment. La poursuite de cette dynamique nécessite donc, comme dans tout secteur et toute entreprise, une visibilité économique ». Pour cela, « Il est vital de prendre conscience du bien fondé et de la réalité de ce qu’une économie de service aujourd’hui, et de prestations demain, apporte comme règles et outils de fonctionnement, déclare Pascal Louis, président du CNGPO. Les contrats de coopération commerciale, les prestations de services sont les moteurs de la performance, de la synergie entre fabricants et détaillants, et sont générateurs d’économie. Ce sont les catalyseurs de tous les circuits commerciaux, la pharmacie n’y échappe pas ».

* Collectif national des groupements de pharmaciens d’officine. www.collectif-groupements-pharmaciens.fr.

Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3039