- Vieillissement (en particulier pour l’incontinence par impériosité)
- Grossesse(s) antérieure(s) (surtout à partir de 3 enfants)
- Antécédents de traumatismes gynéco-obstétricaux, de chirurgie pelvienne (hystérectomie…) ou abdominale
- Obésité
- Activité physique intensive
- Énurésie dans l’enfance
- Infections urinaires basses à répétition
- Vaginite atrophique
- Constipation
- Diabète sucré, diabète insipide (et autres causes de polyurie)
- Œdèmes dus à une insuffisance cardiaque ou une insuffisance veineuse (augmentation de la diurèse nocturne en liaison avec redistribution des liquides)
- Erreurs hygiénodiététiques : consommation hydrique excessive (ou mauvaise répartition sur la journée), absorption importante d’alcool, de café ou de boissons contenant de la caféine (propriétés diurétiques)
- Toutes les causes de toux chronique (notamment la bronchite chronique)
- Pathologies neurologiques (sclérose en plaques, par exemple)
- Troubles cognitifs
- Altération de l’état général (quelle qu’en soit la cause)
- Prise de certains médicaments : diurétiques, anticholinergiques (certains antidépresseurs, antihistaminiques H1, antiparkinsoniens, antipsychotiques...), alphabloquants (diminuent le tonus urétral), alphasympathomimétiques (y compris les décongestionnants), inhibiteurs calciques, sédatifs (analgésiques morphiniques, antihistaminiques H1, anxiolytiques, hypnotiques).
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