Une étude BVA réalisée auprès de 200 généralistes révèle que, en moyenne, les médecins utilisent la mention « non substituable » (NS) pour 22 % de leurs prescriptions, rapporte le GEMME, commanditaire de l’enquête. « Ce taux est encore plus élevé pour les médecins généralistes de plus de 55 ans et avec une patientèle importante », ajoute l’association, qui regroupe la plupart des fabricants de génériques. Pour elle, cette dérive est préjudiciable pour le développement du marché de ces médicaments et pour les comptes de l’assurance-maladie. Dans ce contexte, le GEMME réitère sa demande auprès des pouvoirs publics de prendre des « mesures efficaces, rapides et justes », telles le lancement d’une campagne de communication pour réaffirmer la qualité des génériques ou l’encadrement strict de l’usage excessif de la mention NS.
Près d’une ordonnance sur cinq porterait la mention « NS »
Publié le 04/06/2012
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Quotipharm.com, le 04/06/2012
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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