« Neverdays », d’Alizé Meurisse : une clinique privée propose à un acteur célèbre des injections d’ADN temporaires permettant de changer d’apparence afin de retrouver les avantages de l’anonymat… au risque de le faire plonger dans la folie (Allia).
« Brouillard », de Jean-Claude Pirotte : aux prises avec les métastases et la chimiothérapie, rattrapé par la culpabilité à l’approche de la mort, le narrateur pose la question du rachat par la littérature (Le Cherche-Midi).
« Le Secret du docteur Barry », de Sylvie Ouellette : l’histoire d’une jeune femme qui, pour devenir médecin dans l’Angleterre du XIXe siècle, se fait passer pour un homme, devient médecin militaire et chirurgienne avant-gardiste (De Borée).
« Éléonore », de Colette Lambrichs : lorsqu’elle apprend qu’elle est atteinte d’un cancer, une ancienne actrice, qui règne en maître sur son entourage, voit ses relations modifiées ; l’auteure dépeint le milieu bourgeois bruxellois, avec ses hypocrisies et ses faux-semblants (La Différence).
« Le Cas Eduard Einstein », de Laurent Seksik : prêtant sa voix au fils d’Albert Einstein, interné dès l’âge de 19 ans en clinique psychiatrique, l’auteur dévoile un drame familial au cœur des troubles internationaux des années 1930 (Flammarion).
« Palladium », de Boris Razon : sans cause apparente, un homme se retrouve totalement paralysé et privé de ses sens – une forme atypique du syndrome de Guillain-Barré ; il plonge dans un voyage intérieur sur les traces de son passé, un univers halluciné, effrayant et orgiaque (Stock).
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