Privilégier la voie orale sauf si polymédication, trouble de la déglutition, malabsorption digestive, subocclusion ou occlusion chronique, nausée et vomissements non contrôlés, trouble de la conscience gênant la prise de morphine par voie orale.
Administrer la morphine à intervalles réguliers.
Rechercher la posologie minimale efficace.
Associer à toutes formes à libération prolongée une forme à libération rapide pour traiter les accès douloureux, prévisibles ou non. Chez le sujet fragilisé (âgé, insuffisant rénal, insuffisant hépatique) les posologies doivent être réduites et/ou espacées. Le délai d’évaluation et de changement de dose doit être adapté à la durée d’action de l’antalgique et à l’intensité de la douleur. Ne jamais utiliser simultanément 2 opioïdes ayant la même cinétique. Afin d’assurer une couverture antalgique lors des relais entre opioïdes, tenir compte des délais et durées d’action de chaque médicament.
Anticiper les effets indésirables les plus fréquents : mise systématique sous laxatif durant toute la durée du traitement par opioïde, prévenir les nausées et vomissements à l’introduction de la morphine.
En cas d’effets indésirables gênants malgré des traitements symptomatiques bien conduits, une rotation des opioïdes doit être envisagée.
Réévaluer régulièrement le schéma posologique, surtout en début de traitement.
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