Le pharmacien n’étant pas un acheteur, il est essentiel qu’il confie la gestion de son back-office et les négociations commerciales aux groupements dont ils sont membres, explique Willy Hodin, directeur associé de PharMAcie référence groupe. Cette évolution est « indispensable à la fois pour les patients et pour les pharmaciens », confirme le président de l’USPO, qui y voit « un rempart face aux velléités de la grande distribution ». À charge dès lors « aux autorités de donner les moyens aux centrales d’achats pharmaceutiques (CAP) et autres SRA de jouer leur rôle afin de permettre aux pharmaciens d’acheter au bon prix et donc d’éviter la rétrocession », ajoute le président de la FSPF. À défaut, « les laboratoires seront responsables d’une catastrophe économique pour le réseau », conclut le vice-président de l’UNPF. Une vision qui va à l’encontre de la stratégie de la pharmacie low cost et nécessite que soit enfin réglementée la rétrocession.
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