Les syndicats de médecins et pharmaciens, MG France et USPO, montrent leur volonté de travailler en bonne intelligence et appellent au développement des génériques « en respectant chaque professionnel ». Un souhait qui sera renforcé très prochainement par un accord tripartite entre les représentants de médecins, de pharmaciens et l’Assurance-maladie.
Cinq semaines après la mise en place du contrat « tiers payant contre générique », le taux de substitution moyen a dépassé 78 % et le taux de pénétration a progressé de sept points. Les professionnels de santé se félicitent de ce succès, mais réclament de pouvoir « travailler sereinement ». Ainsi, MG France insiste sur le fait que les généralistes « ne veulent pas que leurs patients reviennent leur demander de modifier leur prescription sur proposition de leur pharmacien ». De son côté, l’USPO rappelle que « les pharmaciens ne peuvent délivrer les médicaments génériques souhaités que si le médecin prescrit dans le répertoire des génériques ». Les deux syndicats réaffirment donc que la prescription se fait, chaque fois qu’elle est possible, dans le répertoire des génériques et en DCI, et que le pharmacien ne doit pas renvoyer le patient vers le médecin pour lui demander de modifier sa prescription.
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