La chute de l’utilisation des pilules de 3e et 4e génération au profit de celles de 1re et 2e génération se confirme, selon les dernières observations de l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Entre janvier 2013 et fin avril 2014 (comparé à 2012), les ventes de contraceptifs oraux combinés (COC) de 3e et 4e génération reculent ainsi de 48 %, tandis que celles des COC de 1re et 2e génération progressent de 32 %. Depuis le début de l’année, le ratio est désormais nettement en faveur des pilules de 1er et 2e génération : 79 % versus 21 %. Mais globalement, la dispensation de COC baisse de 5,6 %. Parallèlement, le recours aux autres dispositifs (implants, dispositifs intra-utérins avec et sans progestatif) enregistre une croissance de 26 %. L’ANSM remarque « un attrait pour le DIU au cuivre confirmé puisque ce dispositif a vu ses ventes augmenter de 45 % ». L’agence note également qu’au cours de cette période, les ventes globales de contraceptifs (hors préservatifs) ont très peu diminué (-0,5 %). « Ce nouveau point d’étape confirme que les femmes et les prescripteurs privilégient les contraceptifs qui présentent des risques thromboemboliques les plus faibles et qu’ils ont pris en compte de façon durable les recommandations émises par l’ANSM », souligne l’Agence.
Chute des ventes des pilules de 3e et 4e génération
Publié le 23/06/2014
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Crédit photo : S Toubon
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Source : lequotidiendupharmacien.fr
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