Dans un récent rapport sur les biosimilaires, l’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) estime que « toute interchangeabilité n’est plus formellement exclue et peut être envisagée sous certaines conditions » : le patient doit donner un accord éclairé et bénéficier d’une surveillance clinique appropriée, les produits biologiques utilisés doivent être parfaitement traçables.
Un changement de position dont se félicite le GEMME. L’association, qui réunit 19 industriels du médicament générique et biosimilaire, se dit en effet favorable au « principe d’interchangeabilité sous condition de traçabilité, d’information et d’acceptation des patients ». Pour le GEMME, il s’agit d’une « première étape majeure dans la diffusion, la prescription et l’utilisation » des biosimilaires en France.
Cybercriminalité
Sur Internet, les faux sites de vente de médicaments se multiplient
Prévention des méningites B
Trumenba désormais pris en charge pour les 15-24 ans
Retraits de lots
Ludiomil indisponible jusqu’à fin 2026
Dispositifs médicaux
Un test diagnostic pour la maladie d’Alzheimer obtient le marquage CE