Une recherche active

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Publié le 27/11/2017
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Pour la DMLA humide, plusieurs molécules injectables pourraient être combinées aux anti-VEGF car elles visent d’autres cellules : anti-PDGF, anti-intégrines (anticorps monoclonaux) et anti-compléments (anti-C3 et anti-C5). Les injections de cellules souches somatiques pluripotentes ou embryonnaires suscitent aussi de l’espoir. Des tests chez l’animal ont été couronnés de succès et un essai clinique est en préparation chez l’homme. Une voie de recherche différente, la supplémentation quotidienne en oméga 3 ou en vitamines E et C, bêtacarotène, zinc et cuivre, paraît intéressante pour réduire le rythme d’évolution d’une DMLA humide ou sèche chez les personnes à haut risque. Autre voie prometteuse quand l’atteinte de la macula est définitive : les implants rétiniens, déjà testés sur des personnes aveugles, mais très coûteux. 


Source : Le Quotidien du Pharmacien: 3392