Dans six mois, le midazolam injectable, indiqué en sédation et anesthésie, sera inscrit sur la liste des stupéfiants et ne pourra être délivré que de façon fractionnée pour une durée maximale de 7 jours.
À partir du 18 décembre 2021, les médicaments à usage humain composés de midazolam administrés par voie parentérale, seront soumis « à des conditions particulières de prescription et de délivrance, en raison d'un risque de pharmacodépendance, d'abus et d'usage détourné », précise un arrêté publié dans le « Journal officiel » du 18 juin. Actuellement sur liste I, le midazolam injectable sera, dans 6 mois, inscrit sur la liste des stupéfiants. Sa prescription devra donc être rédigée sur ordonnance sécurisée. De plus, sa délivrance devra être fractionnée, chaque fraction devant correspondre à des durées maximales de traitement de sept jours.
Ça vient de sortir
mResvia : un nouveau vaccin contre le VRS, mais pas disponible en pharmacie
À savoir pour bien dispenser
Jaydess et risque accru de grossesse extra-utérine
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Spécialité importée de colchicine : ne pas scanner le datamatrix
Ça s’en va et ça revient (ou pas)
Rispéridone orodispersible : ça va dans le bon sens